Le blog de 4 zozios partant de saint-martin-lestra pour des petits tours européens.
vendredi 6 août 2010
Retour à la maison
mercredi 4 août 2010
Visite de Strasbourg
En quelques stations de tram nous voilà au centre ville pas loin de la cathédrale. Celle-ci émerge entre 2 façades à colombage comme un immense vaisseau rose et irréel.
A l'intérieur, on trouve de nombreux trésors dont une très grande fresque-sculpture du mont des oliviers et une horloge astronomique. Celle-ci a une représentation copernicienne du système solaire qui surprend Cédric. Puisqu'il est 11h, nous décidons d'attendre un film de présentation de l'horloge à 12h00 et son animation à 12h30. D'autres touristes commencent déjà à s'agglutiner devant la caisse. Le film n'est pas à la hauteur de la longue attente : un commentaire en 3 langues sur un diaporama de l'horloge ne résout pas beaucoup des mystères soulevés par l'observation de l'horloge. Il est question du temps qu'il ne faut pas perdre dans cette vie et on se dit assez vite qu'on a peut-être perdu une bonne heure et demie.
Après un déjeuner dans une brasserie alsacienne nous déambulons dans la petite France, quartier qui doit son nom à l'hôpital qui y fut installé pour soigner les soldats de François 1er atteint de la petite vérole.
A l'intérieur, on trouve de nombreux trésors dont une très grande fresque-sculpture du mont des oliviers et une horloge astronomique. Celle-ci a une représentation copernicienne du système solaire qui surprend Cédric. Puisqu'il est 11h, nous décidons d'attendre un film de présentation de l'horloge à 12h00 et son animation à 12h30. D'autres touristes commencent déjà à s'agglutiner devant la caisse. Le film n'est pas à la hauteur de la longue attente : un commentaire en 3 langues sur un diaporama de l'horloge ne résout pas beaucoup des mystères soulevés par l'observation de l'horloge. Il est question du temps qu'il ne faut pas perdre dans cette vie et on se dit assez vite qu'on a peut-être perdu une bonne heure et demie.
Après un déjeuner dans une brasserie alsacienne nous déambulons dans la petite France, quartier qui doit son nom à l'hôpital qui y fut installé pour soigner les soldats de François 1er atteint de la petite vérole.
Soirée Strasbourgeoise
Hier soir, après dégustation de flammekueches et de Strudels au Zuem Strissel, nous sommes allés admirer un spectacle sur l'eau dans les bassins d'Austerlitz :
mardi 3 août 2010
Arrivée à Strasbourg
Après préparation des sandwichs,
vérification que nous n'avons rien oublié dans l'appartement,
nous nous sommes mis en route ce matin à 9h30 pour parcourir les 600 kilomètres qui nous séparent de Strasbourg.
8 heures plus tard, et après être passé au Luxembourg (ou le diesel est à moins de 1 euros sur l'autoroute... je ne m'en suis toujours pas remis), nous prenons possession de notre résidence pour 3 nuits à Strasbourg.
Ce soir, petite virée nocturne dans la ville...
vérification que nous n'avons rien oublié dans l'appartement,
nous nous sommes mis en route ce matin à 9h30 pour parcourir les 600 kilomètres qui nous séparent de Strasbourg.
8 heures plus tard, et après être passé au Luxembourg (ou le diesel est à moins de 1 euros sur l'autoroute... je ne m'en suis toujours pas remis), nous prenons possession de notre résidence pour 3 nuits à Strasbourg.
Ce soir, petite virée nocturne dans la ville...
lundi 2 août 2010
Petit tour dans la campagne Hollandaise
Après 5 jours passés en Hollande sans voir un seul moulin, nous avons décidé hier, de faire un petit tour dans la campagne Hollandaise pour :
Ces vérifications faites, nous sommes allés faire un petit tour à Delft, le pays de Vermeer. Très jolie petite ville, pleine de cachet avec de vieux bâtiments qui bordent les rues.
Pour finir la journée en beauté, nous sommes allés sur la plage, à 10 min de chez nous. Cette fois, nous avions pris nos maillots de bains. Léa est très fière d'avoir piqué une tête dans la mer du nord.
Aujourd'hui, direction les grands barrages du delta du Rhin (qui ici s'appelle le waal) et de la meuse. Il a d'abord fallu traverser la zone portuaire de Rotterdam qui fait passer à elle seule la vallée de la chimie au sud de Lyon pour un parc naturel. Au sud de Rotterdam, s'étend la région du delta : nous traversons plusieurs gros barrage-écluses. D'un côté la mer et ses chalutiers, de l'autre des grandes étendues d'eau sur lesquelles on voit beaucoup de petits bateaux de plaisance et de planches à voile.
A... comment on dit déjà Léa ? ha oui, Zierkzee, nous avons mangé dans un petit bar qui ne paie pas de mine mais qui sert d'excellents poissons. Pour ceux qui passeraient par là, c'est à côté de "la brasserie maritime", recommandée par le michelin.
Après ce petit tour en Zélande, nous avons retrouvé la Haye et notre petite, pardon, immense plage. Dernier petit tour au bord de la mer du nord avant le retour par l'Alsace. Maintenant que l'on doit partir, on commence à se dire qu'on aurait pu aller là, et là, etc.
- vérifier qu'il y a bien des moulins,
- vérifier qu'il y a bien des canaux
- vérifier que les peintres hollandais n'ont pas enjolivé les ciels Hollandais
Ces vérifications faites, nous sommes allés faire un petit tour à Delft, le pays de Vermeer. Très jolie petite ville, pleine de cachet avec de vieux bâtiments qui bordent les rues.
Pour finir la journée en beauté, nous sommes allés sur la plage, à 10 min de chez nous. Cette fois, nous avions pris nos maillots de bains. Léa est très fière d'avoir piqué une tête dans la mer du nord.
Aujourd'hui, direction les grands barrages du delta du Rhin (qui ici s'appelle le waal) et de la meuse. Il a d'abord fallu traverser la zone portuaire de Rotterdam qui fait passer à elle seule la vallée de la chimie au sud de Lyon pour un parc naturel. Au sud de Rotterdam, s'étend la région du delta : nous traversons plusieurs gros barrage-écluses. D'un côté la mer et ses chalutiers, de l'autre des grandes étendues d'eau sur lesquelles on voit beaucoup de petits bateaux de plaisance et de planches à voile.
A... comment on dit déjà Léa ? ha oui, Zierkzee, nous avons mangé dans un petit bar qui ne paie pas de mine mais qui sert d'excellents poissons. Pour ceux qui passeraient par là, c'est à côté de "la brasserie maritime", recommandée par le michelin.
Après ce petit tour en Zélande, nous avons retrouvé la Haye et notre petite, pardon, immense plage. Dernier petit tour au bord de la mer du nord avant le retour par l'Alsace. Maintenant que l'on doit partir, on commence à se dire qu'on aurait pu aller là, et là, etc.
samedi 31 juillet 2010
Une petite visite à Escher
Après la grosse journée d'hier, petit programme : visite d'"Escher dans son palais" puis emplettes touristiques à La Haye.
vendredi 30 juillet 2010
Morito fait un petit tour à Amsterdam
Après la poignante visite d'Anne Frank, nous sommes tombés sur un magasin plein de petits gadgets sympas. Nous en sommes ressortis avec un nouveau compagnon, Morito qui nous a accompagné tout au long de la journée:
Au Houseboatmuseum, Morito a découvert comment les Amsterdamois réaménagent les vieilles péniches pour en faire des maisons sur l'eau. Au Foam_Fotografiemuseum, il a plongé dans l'univers de Inez van Lamsweerde & Vinoodh Matadin, 2 photographes de modes qui présentent à travers 300 images l'univers qu'ils ont créés depuis 25 ans :
Puis, Morito a pris une bouffée d'oxygène en se reposant dans les jardins du musée geelvinck, hôtel particulier datant du XVIIème. Bouffée d'oxygène nécessaire avant de s'attaquer au Rijksmuseum.
Ce musée réunit, entre autres, les œuvres majeures de Rembrandt et de Vermeer. C'est encore un festival -dont on ne se lasse pas- de ciels, de lumières qui émanent des visages. Léa est resté longtemps devant le filet de lait de la laitière de Vermeer. Hanaé a apprécié la petite explication de texte des oeuvres de Miro, inspirées de l'oeuvre de Jan Steen, peintre flamand, exposé au Rijksmuseum.
Pour finir, nous avons emmené Morito au "Rancho Argentinian grill" vérifier s'il est vrai que les steaks Argentins sont les meilleurs du monde. Verdict unanime du jury : excellentissime.
Au Houseboatmuseum, Morito a découvert comment les Amsterdamois réaménagent les vieilles péniches pour en faire des maisons sur l'eau. Au Foam_Fotografiemuseum, il a plongé dans l'univers de Inez van Lamsweerde & Vinoodh Matadin, 2 photographes de modes qui présentent à travers 300 images l'univers qu'ils ont créés depuis 25 ans :
Puis, Morito a pris une bouffée d'oxygène en se reposant dans les jardins du musée geelvinck, hôtel particulier datant du XVIIème. Bouffée d'oxygène nécessaire avant de s'attaquer au Rijksmuseum.
Ce musée réunit, entre autres, les œuvres majeures de Rembrandt et de Vermeer. C'est encore un festival -dont on ne se lasse pas- de ciels, de lumières qui émanent des visages. Léa est resté longtemps devant le filet de lait de la laitière de Vermeer. Hanaé a apprécié la petite explication de texte des oeuvres de Miro, inspirées de l'oeuvre de Jan Steen, peintre flamand, exposé au Rijksmuseum.
Pour finir, nous avons emmené Morito au "Rancho Argentinian grill" vérifier s'il est vrai que les steaks Argentins sont les meilleurs du monde. Verdict unanime du jury : excellentissime.
Visite de la maison-musée d'Anne Franck
Aujourd'hui pour arriver parmi les premiers à la maison d'Anne Frank, nous sommes partis en voiture, dès 7h30. Malgré cela, à 8h45, il y avait déjà une petite file devant l'entrée du musée. Il faut dire que cette visite est incontournable. Elle commence par les bureaux et entrepôts derrière lesquels Anne Frank et sa famille se cachaient, puis au fur et à mesure que l'on s'enfonce dans le bâtiment, nous pénétrons dans l'intimité de ce qu'Anne Frank appelait "l'annexe" dans laquelle elle et 7 autres personnes ont vécu pendant 2 ans et demi, sans jamais sortir. La visite est émaillée de détails poignants : la carte sur laquelle Otto Frank, le père, notait l'avancée des forces alliées, les cartes postales accrochées dans la chambre d'Anne, le grenier par lequel les enfants enfermés jetait un coup d'oeil au bleu du ciel Hollandais. Puis, à la sortie de l'annexe, nous arrivons dans une grande pièce retraçant les derniers jours des occupants de l'annexe après leur arrestation. Le témoignage d'une rescapée des camps ayant connu Anne Frank nous laisse sans voix.
Avant de sortir, les visiteurs sont invités à prendre conscience des pressions exercées sur les minorités à travers une série de petits documentaires. Cette animation est le fruit du voeux d'Otto Frank, survivant d'Auschwitz, mort à 90 ans, en 1980, de faire de ce musée un lieu d'apprentissage de la tolérance.
Il faut un temps pour se remettre de cette visite, temps que nous avons passé autour de cafés et chocolats chauds évoquant ce que chacun avait ressenti et permettant aux émotions de se partager.
Avant de sortir, les visiteurs sont invités à prendre conscience des pressions exercées sur les minorités à travers une série de petits documentaires. Cette animation est le fruit du voeux d'Otto Frank, survivant d'Auschwitz, mort à 90 ans, en 1980, de faire de ce musée un lieu d'apprentissage de la tolérance.
Il faut un temps pour se remettre de cette visite, temps que nous avons passé autour de cafés et chocolats chauds évoquant ce que chacun avait ressenti et permettant aux émotions de se partager.
Anne Frank, 1929-1945 |
jeudi 29 juillet 2010
Découverte d'Amsterdam
Lever 6h30 puis tramway et train pour arriver à la gare d'Amsterdam à 9h00.
La journée amsterdamoise commence par une attente au tourist office et un café au bord de l'eau. Nous décidons de découvrir Amsterdam par l'eau : croisière découverte des canaux.
Un tour de ville plus tard, nous revoilà à la gare. Tram N°5 direction le musée Van Gogh où nous sommes accueillis par une queue monstre qui nous fait frémir mais fort heureusement, une seconde ligne était ouverte pour les porteurs de la carte "I amsterdam" dont nous avons fraîchement fait l'acquisition. Nous voilà donc, remontant fièrement la longue file, tel des VIPs invités...
Cependant ce moment de privilège n'a pas duré très longtemps : une fois dans le musée, de longues files s'alignent devant les tableaux. Cette fois-ci nous n'avons pas joué la carte "I amsterdam" mais la carte "nous sommes des touristes français" et n'avons pas hésité à prendre des chemins de traverses pour voir de plus près les oeuvres exposées.
Les yeux pleins de couleurs et les genoux en compote, nous avons poursuivi la journée par une virée sur le marché aux fleurs. Wangmo mitraille les étalages et nous nous amusons des "cannabis weed first kit" et autres "magic mushroom gallery".
Comme cela faisait déjà un moment qu'Hanaé égrenait les heures par un "j'ai faim" laconique (c'est à dire depuis environ 15 min après le dernier repas...), nous avons décidé de nous restaurer en goûtant les fameuses "dutch pancakes" vantées par un salon de thé en marge du marché.
15h45, nous calculons qu'il ne nous reste que 45 min pour atteindre le 3 mats "Amsterdam" qui est à quai proche de la gare.
16h30, malgré ses pieds en compote, Cédric brandit fièrement les tickets d'entrée au bateau dont il a pu faire l'acquisition 1 minute avant la fermeture de la caisse. Nous concluons cette journée dans l'ambiance de cette reconstitution d'un bateau ayant réellement joint Amsterdam aux compagnies orientales à la fin du XVIIème. Wangmo frémit en imaginant les matelots remontant le longs des mats, Léa rêve de la cabine du capitaine, Hanaé s'imagine passant une semaine à bord en tenue "comme à l'époque" et Cédric s'interroge sur ce qu'aurait été son service militaire 250 ans en arrière.
18h00, dans le train de retour pour la Haye, nos pieds se reposent enfin.
La journée amsterdamoise commence par une attente au tourist office et un café au bord de l'eau. Nous décidons de découvrir Amsterdam par l'eau : croisière découverte des canaux.
Un tour de ville plus tard, nous revoilà à la gare. Tram N°5 direction le musée Van Gogh où nous sommes accueillis par une queue monstre qui nous fait frémir mais fort heureusement, une seconde ligne était ouverte pour les porteurs de la carte "I amsterdam" dont nous avons fraîchement fait l'acquisition. Nous voilà donc, remontant fièrement la longue file, tel des VIPs invités...
Cependant ce moment de privilège n'a pas duré très longtemps : une fois dans le musée, de longues files s'alignent devant les tableaux. Cette fois-ci nous n'avons pas joué la carte "I amsterdam" mais la carte "nous sommes des touristes français" et n'avons pas hésité à prendre des chemins de traverses pour voir de plus près les oeuvres exposées.
Les yeux pleins de couleurs et les genoux en compote, nous avons poursuivi la journée par une virée sur le marché aux fleurs. Wangmo mitraille les étalages et nous nous amusons des "cannabis weed first kit" et autres "magic mushroom gallery".
Comme cela faisait déjà un moment qu'Hanaé égrenait les heures par un "j'ai faim" laconique (c'est à dire depuis environ 15 min après le dernier repas...), nous avons décidé de nous restaurer en goûtant les fameuses "dutch pancakes" vantées par un salon de thé en marge du marché.
15h45, nous calculons qu'il ne nous reste que 45 min pour atteindre le 3 mats "Amsterdam" qui est à quai proche de la gare.
16h30, malgré ses pieds en compote, Cédric brandit fièrement les tickets d'entrée au bateau dont il a pu faire l'acquisition 1 minute avant la fermeture de la caisse. Nous concluons cette journée dans l'ambiance de cette reconstitution d'un bateau ayant réellement joint Amsterdam aux compagnies orientales à la fin du XVIIème. Wangmo frémit en imaginant les matelots remontant le longs des mats, Léa rêve de la cabine du capitaine, Hanaé s'imagine passant une semaine à bord en tenue "comme à l'époque" et Cédric s'interroge sur ce qu'aurait été son service militaire 250 ans en arrière.
18h00, dans le train de retour pour la Haye, nos pieds se reposent enfin.
mercredi 28 juillet 2010
Vermeer et vers la mer
Matinée culturelle au musée Mauritshuis, chacun son audioguide sur les oreilles, nous nous sommes immergés dans la leçon d'anatomie de Rembrandt, la jeune fille à la perle de Vermeer et d'autres perles de Rubens, Potter (Paulus, pas Harry), Fabritius, Avercamp, etc. Conclusion d'Hanaé : "c'était bien ce musée, d'habitude j'aime pas la peinture, mais là, c'était super bien".
La transition vers l'après-midi se fit dans un restaurant indonésien "Istana" à ChinaTown où une autochtone Hollandaise, ayant compris que nous étions Français, nous a spontanément aidé à choisir les plats.
Avant de quitter le quartier Chinois nous avons fait quelques emplettes dans un supermarché Chin'toque où nous nous sommes sentis comme à la guillotière (le quartier chinois de Lyon, entre autre).
En revenant par le tram 17, nous avons découvert à 2 pas de chez nous un très grands supermarché Jumbo où nous avons pu acheter de la pâte de speculoos à tartiner, des donughts pour Hanaé et de la bière.
En fin de journée, nous sommes allé à la mer, à 10 min de là où nous habitons : festival de traînées blanches dans l'azur, les petits petons s'enfoncent dans l'eau et le sable mouillé, Léa fait provision de jolis coquillages dans sa chaussure, Hanaé joue avec les vagues, le cerf-volant goutte l'espace aérien Hollandais.
La transition vers l'après-midi se fit dans un restaurant indonésien "Istana" à ChinaTown où une autochtone Hollandaise, ayant compris que nous étions Français, nous a spontanément aidé à choisir les plats.
Avant de quitter le quartier Chinois nous avons fait quelques emplettes dans un supermarché Chin'toque où nous nous sommes sentis comme à la guillotière (le quartier chinois de Lyon, entre autre).
En revenant par le tram 17, nous avons découvert à 2 pas de chez nous un très grands supermarché Jumbo où nous avons pu acheter de la pâte de speculoos à tartiner, des donughts pour Hanaé et de la bière.
En fin de journée, nous sommes allé à la mer, à 10 min de là où nous habitons : festival de traînées blanches dans l'azur, les petits petons s'enfoncent dans l'eau et le sable mouillé, Léa fait provision de jolis coquillages dans sa chaussure, Hanaé joue avec les vagues, le cerf-volant goutte l'espace aérien Hollandais.
mardi 27 juillet 2010
Traversée des flandres
De Bruges à La Haye il y a 210 kms pour 2h30. De bruges à La Haye il y a une route où on peut rouler à 110 mais avec des feux de signalisation. Il y a la zone portuaire de Anvers qui est très grande avec une centrale nucléaire, des éoliennes, des raffineries, des centrales solaires et des conteneurs entassés qui font de grandes piles comme des légos. Il y a un tunnel qui passe sous cette zone portuaire. De Bruges à La Haye il y a Rotterdam qu'on contourne avec l'autoroute. Entre Rotterdam et La Haye, il y a une aire d'autoroute avec un burger king.
Après l'appartement blanc de Bruges, nouvelle étape. Nous sommes à la périphérie de La Haye, pas très loin du port. On peut dire que c'est la banlieue. L'appartement est vaste, chacun a sa chambre, il y a 2 grands canapés devant une grande télé, une connexion internet et un lave-vaisselle; voila pour les côtés positifs.
Après l'appartement blanc de Bruges, nouvelle étape. Nous sommes à la périphérie de La Haye, pas très loin du port. On peut dire que c'est la banlieue. L'appartement est vaste, chacun a sa chambre, il y a 2 grands canapés devant une grande télé, une connexion internet et un lave-vaisselle; voila pour les côtés positifs.
lundi 26 juillet 2010
Du Béguinage au musée de la frite
Au musée de la frite, Hanaé ne sait plus où donner de la tête... |
Tout a commencé par un petit déj nordique comme on sait les faire ici mais cette fois-ci on a été plus rapide à la salle de bain et nous avons pu décoller autour de 9h30. Direction le Béguinage : c'est un lieu où veuves et célibataires se retiraient pour s'adonner à la contemplation. Des petites maisons blanches entourent une vaste pelouse autour d'une église. Petit village dans la ville, ce lieu n'a jamais cessé d'être un centre de pratique depuis le 13ème siècle.
Après un petit café nous avons continué par le musée des diamants. Quelques panneaux sur les diamants ne nous apprenne pas grand chose, finalement. Nous retiendrons quand même qu'un diamant contient toujours 57 facettes et que le carat est défini par la graine de caroube : 1 carat = 0,2 g = la masse d'une graine de Caroube. La visite s'achève par une démo de taille de diamants.
Après déambulation et dégustation de croque-madame et hot-dog accompagnés des célèbres belgian Fries, nous traversons la ville pour visiter 2 must-see de Bruges, 2 haut lieux de la culture Belge : le musée du chocolat et le musée de la frite.
Pour résumer le musée de la frite nous n'aurons qu'un seul qualificatif : un grand moment Raverdien (les spécialistes apprécieront).
Pour clore ces promenades dans la venise du Nord, nous nous offrons une petite balade d'une demi-heure sur les canaux Brugeois.
dimanche 25 juillet 2010
J'ai enfin trouvé un hotspot !
21h30, Hotel Die Snaene, Steenhouwersdijk, Brügg : j'ai enfin trouvé un hotspot, pas trop loin de notre appartement. Photos et articles sont en ligne. Sur fond de tango et de paso - il y a un petit bal sur la place d'à côté où les couples échangent quelques pas de danses endiablés - je vais pouvoir rentrer me coucher serein...
Premier contact avec Bruges
La journée a commencé avec une recherche infructueuse de boulangerie, us et coutumes flamands + vacances estivales ont fait disparaitre toute bakery dans un rayon de 500 m autour de notre appartement. Du coup, nous nous replions sur un p'tit déj 5 étoiles : charcuteries, fromages et fruits. Finalement c'est pas si mal.
Après un défilé continu de pin-up dans la salle de bain et approvisionnement pour le soir, nous voilà, vers 11h, en route pour la ville que nous traversons à la recherche de l'office du tourisme. Petite pause café et chocolat belge et nous voilà à l'assaut des primitifs flamands : d'abord au musée de l'hopital - un peu décevant, peu fourni - puis au musée Groeninge. Ce dernier aurait pu également être motif d'insatisfaction car la plupart des salles sont fermées en préparation d'une expo "de Van Eyck à Dürer" très prometteuse qui aura lieu à partir de Nov. 2010 mais la beauté des quelques oeuvres qui nous ont été présentées a largement compensé cette petite déception. C'est un festival de "trognes" et de lumière qui claque de l'intérieur du tableau.
Puis, sans transition, nous nous sommes immergé dans l'univers suréaliste de Dali. Une expo très riche, pleine de dessins et de sculptures. Il y avait même une projection du chien andalou.
Pour finir cette journée, nous déambulons dans les rues bondées de Bruges, à la recherche de patisseries affriolantes que nous avions repérées auparavant mais hélas, là encore us et coutumes Flamands se sont interposés et nous avons trouvé porte close malgré l'heure : 18h...
Fort heureusement, nous avions fait provision le matin de nombreuses spécialités de l'épicerie fine du coin.
Après un défilé continu de pin-up dans la salle de bain et approvisionnement pour le soir, nous voilà, vers 11h, en route pour la ville que nous traversons à la recherche de l'office du tourisme. Petite pause café et chocolat belge et nous voilà à l'assaut des primitifs flamands : d'abord au musée de l'hopital - un peu décevant, peu fourni - puis au musée Groeninge. Ce dernier aurait pu également être motif d'insatisfaction car la plupart des salles sont fermées en préparation d'une expo "de Van Eyck à Dürer" très prometteuse qui aura lieu à partir de Nov. 2010 mais la beauté des quelques oeuvres qui nous ont été présentées a largement compensé cette petite déception. C'est un festival de "trognes" et de lumière qui claque de l'intérieur du tableau.
Puis, sans transition, nous nous sommes immergé dans l'univers suréaliste de Dali. Une expo très riche, pleine de dessins et de sculptures. Il y avait même une projection du chien andalou.
Pour finir cette journée, nous déambulons dans les rues bondées de Bruges, à la recherche de patisseries affriolantes que nous avions repérées auparavant mais hélas, là encore us et coutumes Flamands se sont interposés et nous avons trouvé porte close malgré l'heure : 18h...
Fort heureusement, nous avions fait provision le matin de nombreuses spécialités de l'épicerie fine du coin.
samedi 24 juillet 2010
De la picardie à la flandre
Contraste saisissant entre notre appartement Brugeois et notre maisonnette Croteloise... D'un intérieur cosy, nous nous trouvons plongé dans un appartement fruit de l'esprit d'un designer fou de blanc. Atmosphère minérale où nous avons l'impression que chacune de nos expirations est susceptible de souiller les murs immaculés.
Depuis ce matin nous avons parcouru quelques centaines de kilomètre au nord. Pause déjeuner à Lille, où nos déambulations dans le vieux Lille nous ont amené devant les maisons où Wangmo et Jean-Jacques puis Léa ont vécu. 1 heure plus au nord, nous voilà au pays des flamands. La municipalité nous a tout de suite gratifié d'une amende de 30 euros pour défaut de ticket... on ne plaisante pas avec ces choses là.
Fort heureusement le traiteur du coin est bien sympa et fournit de délicieux repas pour quelques euros. Seul hic : arriver à déguster ces plats en sauce sans consteller de tâches l'appartement... On a l'impression de manger dans une scène de crime où le FBI pourrait débarquer à tout instant pour relever la moindre de nos traces.
Depuis ce matin nous avons parcouru quelques centaines de kilomètre au nord. Pause déjeuner à Lille, où nos déambulations dans le vieux Lille nous ont amené devant les maisons où Wangmo et Jean-Jacques puis Léa ont vécu. 1 heure plus au nord, nous voilà au pays des flamands. La municipalité nous a tout de suite gratifié d'une amende de 30 euros pour défaut de ticket... on ne plaisante pas avec ces choses là.
Fort heureusement le traiteur du coin est bien sympa et fournit de délicieux repas pour quelques euros. Seul hic : arriver à déguster ces plats en sauce sans consteller de tâches l'appartement... On a l'impression de manger dans une scène de crime où le FBI pourrait débarquer à tout instant pour relever la moindre de nos traces.
vendredi 23 juillet 2010
Des moules et puis des frites
Dernier jour au Crotoy. Tom Tom, notre savant navigateur nous indique que passer par Lille en allant à Bruges ne rallongerais le trajet que d'une petite heure. La décision est prise, on dégustera de la tarte au vieux lille avant de quitter la France.
Sofie frimousse de la fripouille a dégueulé toute la nuit, l'orgie agnelesque de la veille a laissé des traces dans son petit organisme canin et sur le sol de la maison.
Après des filets de carrelets succulents suivis d'une ronde de dessert (calais, succulent et tarte picarde) et une petite sieste, retour au désert de la plage. Comme il y a du vent aujourd'hui, le cerf-volant file et virevolte dans le bleu crotelois.
La journée s'échoue en douceur sous une avalanche de moules et puis de frites arrosé de muscadet et de bière ch'ti ambrée.
Sofie frimousse de la fripouille a dégueulé toute la nuit, l'orgie agnelesque de la veille a laissé des traces dans son petit organisme canin et sur le sol de la maison.
Après des filets de carrelets succulents suivis d'une ronde de dessert (calais, succulent et tarte picarde) et une petite sieste, retour au désert de la plage. Comme il y a du vent aujourd'hui, le cerf-volant file et virevolte dans le bleu crotelois.
La journée s'échoue en douceur sous une avalanche de moules et puis de frites arrosé de muscadet et de bière ch'ti ambrée.
jeudi 22 juillet 2010
Marée basse en baie de somme
Les bang bang du voisin nous ont sortis du lit : il profite de cette belle journée pour résoudre ses problèmes d'infiltrations à notre grand malheur. Toute la journée sera ryhtmée par la disqueuse, la perceuse et le marteau.
Rituel obligé : poisonnier, boulanger, shoppy. C'est la sainte trinité du crotoy que chacun emprunte dans l'ordre qui lui sied. A midi, dégustation de dorades, précédées de langoustine et de crevette grises. La vision de bloc de graisse spécial frite à shoppy nous donne la force de prendre la décision de nettoyer la friteuse. On ne repartira pas du Crotoy sans s'être délecté d'une moules-frites dans les règles de l'art. Depuis cette prise de décision, papet s'arc-boute sur l'évier, usant toutes les éponges et autres paille de fer pour redonner encore quelques heures de noblesse à une friteuse qui en a vu passer de l'huile. En fin de journée, Cédric prend le relais pour faire briller le panier à frites.
En fin d'après-midi, petit tour de la baie de somme pour rejoindre Saint-Valery et la pointe de Hourdel. A marèe basse, la mer s'est retirée au-delà de l'horizon et les phoques lézardent au soleil à bonne distance des vacanciers curieux... à moins que ce ne soit l'inverse.
Retour au crotoy, les promesses de baignades se sont fait siphonnées par une mer tellement retirée que la plage s'est transformée en immense terrain vague. On se demande quand est-ce qu'ils vont remonter cette mer Devos-ienne. A défaut, de baignade, on tire les ficelles du cerf-volant fraîchement acquis. Hélas, le vent semble s'être lié d'amitié avec la mer, au-delà de l'horizon.
Rituel obligé : poisonnier, boulanger, shoppy. C'est la sainte trinité du crotoy que chacun emprunte dans l'ordre qui lui sied. A midi, dégustation de dorades, précédées de langoustine et de crevette grises. La vision de bloc de graisse spécial frite à shoppy nous donne la force de prendre la décision de nettoyer la friteuse. On ne repartira pas du Crotoy sans s'être délecté d'une moules-frites dans les règles de l'art. Depuis cette prise de décision, papet s'arc-boute sur l'évier, usant toutes les éponges et autres paille de fer pour redonner encore quelques heures de noblesse à une friteuse qui en a vu passer de l'huile. En fin de journée, Cédric prend le relais pour faire briller le panier à frites.
En fin d'après-midi, petit tour de la baie de somme pour rejoindre Saint-Valery et la pointe de Hourdel. A marèe basse, la mer s'est retirée au-delà de l'horizon et les phoques lézardent au soleil à bonne distance des vacanciers curieux... à moins que ce ne soit l'inverse.
Retour au crotoy, les promesses de baignades se sont fait siphonnées par une mer tellement retirée que la plage s'est transformée en immense terrain vague. On se demande quand est-ce qu'ils vont remonter cette mer Devos-ienne. A défaut, de baignade, on tire les ficelles du cerf-volant fraîchement acquis. Hélas, le vent semble s'être lié d'amitié avec la mer, au-delà de l'horizon.
mercredi 21 juillet 2010
Retour aux sources
Un copieux brunch (bacon & eggs, jus de fruit, gateau battu, fromages locaux) précède une virée dans l'intérieure des terres, du côté de l'étoile.
A Vignacourt, Hélène retrouve Jacques qu'elle n'a pas vu depuis plus de vingt ans. C'est un festival de "tu te souviens de fausse perruque", "de machin et de bidule". "ouai" réponds Hélène à toutes les propositions de Jacques qui est une vrai mine à souvenirs. Cette séquence émouvante est suivie d'un tour de l'étoile, histoire d'accrocher des images aux mots : les moulins bleus, la maison de Clotilde, le terrain de foot, le cimetière, la vieille église, l'ancienne école transformée en mairie prennent forme.
A amiens, nous nous délectons de macarons avant de faire provisions de charcuterie, fromages et leurs confitures pour amener chez les cousins de Saint-Fuscien.
A Vignacourt, Hélène retrouve Jacques qu'elle n'a pas vu depuis plus de vingt ans. C'est un festival de "tu te souviens de fausse perruque", "de machin et de bidule". "ouai" réponds Hélène à toutes les propositions de Jacques qui est une vrai mine à souvenirs. Cette séquence émouvante est suivie d'un tour de l'étoile, histoire d'accrocher des images aux mots : les moulins bleus, la maison de Clotilde, le terrain de foot, le cimetière, la vieille église, l'ancienne école transformée en mairie prennent forme.
A amiens, nous nous délectons de macarons avant de faire provisions de charcuterie, fromages et leurs confitures pour amener chez les cousins de Saint-Fuscien.
mardi 20 juillet 2010
Léa se met au canevas
Journée de farniente au crotois : la vie glisse sur un lit de lecture, promenade sur le port, sortie shopping de fringues, agneau pré salé et autres bricoles à porter et à manger.
Du marché, Nanny ramène un canevas qui ne cessera plus d'occuper les doigts de Léa. Sous une chaleur presque méridionnale, le repas se fond dans une sieste toute estivale.
En fin de journée, Hanaé et Cédric s'épuisent après 2 parties de go dans les courants de la marée montante.
Du marché, Nanny ramène un canevas qui ne cessera plus d'occuper les doigts de Léa. Sous une chaleur presque méridionnale, le repas se fond dans une sieste toute estivale.
En fin de journée, Hanaé et Cédric s'épuisent après 2 parties de go dans les courants de la marée montante.
lundi 19 juillet 2010
Balade à Nausicaa
Lever à l'aube (8h30, faut pas déconner quand même), départ pour Boulogne/mer. Viaducs, éoliennes et ciel majestueux ponctuent la remontée de la côte d'opale sur l'autoroute de Calais.
A Nausicaa, plongée au sec sous la surface de tous les océans du monde : raies, requins, murènes, méduses, thons, écrevisses, otaries, etc. sous une lueur bleutée.
Le clou de la sortie : une rencontre du 3ème type avec une raie qui vient chercher les caresses.
Comme les émotions ouvrent l'appétit, crèpes et glaces viennent clore la séquence "Nausicaa" à la brasserie "l'univers" face au rond-point de la plage de Boulogne.
Pour clore la journée, petit tour à Berck-plage. Hanaé & Cédric se laissent glisser dans les rouleaux de la mer du Nord, tandis que Léa, Wangmo & Nany se prélasssent sur le sable berckois, sans oublier Papet, posté en fin observateur, dans sa voiture, des moeurs et coutumes du touriste ch'ti.
A la fraîche, diner crotoy : 2 belles dorades arrosées de muscadet ravissent nos papilles.
A Nausicaa, plongée au sec sous la surface de tous les océans du monde : raies, requins, murènes, méduses, thons, écrevisses, otaries, etc. sous une lueur bleutée.
Le clou de la sortie : une rencontre du 3ème type avec une raie qui vient chercher les caresses.
Comme les émotions ouvrent l'appétit, crèpes et glaces viennent clore la séquence "Nausicaa" à la brasserie "l'univers" face au rond-point de la plage de Boulogne.
Pour clore la journée, petit tour à Berck-plage. Hanaé & Cédric se laissent glisser dans les rouleaux de la mer du Nord, tandis que Léa, Wangmo & Nany se prélasssent sur le sable berckois, sans oublier Papet, posté en fin observateur, dans sa voiture, des moeurs et coutumes du touriste ch'ti.
A la fraîche, diner crotoy : 2 belles dorades arrosées de muscadet ravissent nos papilles.
dimanche 18 juillet 2010
Découverte du crotoy
Ce matin, pas de contrainte, pour la première fois depuis plusieurs mois. Du coup, on se réveille, on bouquine, on se rendort, on glande devant un café... de fil en aiguille voilà midi et on file au poissonnier du coin (à 2 pas, face à la mer). C'est la vie de pacha !
Après une courte sieste, nous décidons de digérer nos excellentissimes filets de carrelets le temps d'une petite balade sur la jetée, face au crotoy, en pleine marée montante. On admire les courants, on s'extasie devant trois petites taches noires dans l'eau ("c'est des orques ?", "Mais non, Hanaé, ce sont des otaries", "pfff, n'importe quoi, ce sont des phoques" corrige Léa), on se chamaille sur une voile rouge dérivante qui s'avère être un kite de kite-surf, on s'amuse d'un gars en combinaison qui passe par là, puis par ici à la recherche de son kite.
Une fois passé le paroxysme de la marée, petit tour à la plage, Hanaé et Cédric découvre les joies de la baignade en eau limoneuse avec courant de marée descendante : surf sur fond boueux.
Pour finir, ravitaillement en terrine d'agneau de pré salé et apéro locaux. Moralité : ça serait pas écrit sur le bocal, le côté "pré salé" ne saute pas vraiment au palais.
Après une courte sieste, nous décidons de digérer nos excellentissimes filets de carrelets le temps d'une petite balade sur la jetée, face au crotoy, en pleine marée montante. On admire les courants, on s'extasie devant trois petites taches noires dans l'eau ("c'est des orques ?", "Mais non, Hanaé, ce sont des otaries", "pfff, n'importe quoi, ce sont des phoques" corrige Léa), on se chamaille sur une voile rouge dérivante qui s'avère être un kite de kite-surf, on s'amuse d'un gars en combinaison qui passe par là, puis par ici à la recherche de son kite.
Une fois passé le paroxysme de la marée, petit tour à la plage, Hanaé et Cédric découvre les joies de la baignade en eau limoneuse avec courant de marée descendante : surf sur fond boueux.
Pour finir, ravitaillement en terrine d'agneau de pré salé et apéro locaux. Moralité : ça serait pas écrit sur le bocal, le côté "pré salé" ne saute pas vraiment au palais.
samedi 17 juillet 2010
une journée très muffin
5h30, La maisonnée se réveille doucement. Un petit café, un bol de céréales et un "t'as débranché le modem ?" plus tard et nous voilà en route pour le nord, en passant par Clermont.
à Thiers, Léa : "C'est rigolo, j'ai l'impression que je vais chez mon père",
à l'aire des volcans, wangmo : "C'est rigolo, on a l'impression qu'on va à yogi-ling",
à Bourges, hanaé : "ron pich".
Tom Tom nous fait passer au pied des gratte-ciel de la défense. Petit émerveillement rituel devant la tour effeil et nos estomacs qui crient famine sont heureux de trouver une aire de repos sur l'A16 (direction Amiens, oui, ça y est, c'est le nord) pour dévorer le poulet soigneusement sélectionné hier à carrouf' Feurs, ZI du forum.
Petit coup de fil à papet & Nany : "sommes sur l'A16, bip, rendez-vous prévu 52, rue pasteur, Crotoy à 16h00, bip"
A l'heure dite, nous découvrons une petite maison bleue dans une ville où nous nous souvenons avoir mangé des moules frites servies par un serveur trans' il y a quelques années.
Papet, Nany et frimousse arrivent quelques minutes plus tard.
Découverte de la maison, c'est spacieux, c'est cool, ça fera un bon camp de base.
Petit tour du crotoy, ravitaillement en moules de bouchot, 4 Litres, s'il vous plait madame, avec un pot de salicorne.
22h00, les baillements s'installent sous les yeux cernés. Nous sommes surpris par la luminosité à cette heure. C'est le nord !
à Thiers, Léa : "C'est rigolo, j'ai l'impression que je vais chez mon père",
à l'aire des volcans, wangmo : "C'est rigolo, on a l'impression qu'on va à yogi-ling",
à Bourges, hanaé : "ron pich".
Tom Tom nous fait passer au pied des gratte-ciel de la défense. Petit émerveillement rituel devant la tour effeil et nos estomacs qui crient famine sont heureux de trouver une aire de repos sur l'A16 (direction Amiens, oui, ça y est, c'est le nord) pour dévorer le poulet soigneusement sélectionné hier à carrouf' Feurs, ZI du forum.
Petit coup de fil à papet & Nany : "sommes sur l'A16, bip, rendez-vous prévu 52, rue pasteur, Crotoy à 16h00, bip"
A l'heure dite, nous découvrons une petite maison bleue dans une ville où nous nous souvenons avoir mangé des moules frites servies par un serveur trans' il y a quelques années.
Papet, Nany et frimousse arrivent quelques minutes plus tard.
Découverte de la maison, c'est spacieux, c'est cool, ça fera un bon camp de base.
Petit tour du crotoy, ravitaillement en moules de bouchot, 4 Litres, s'il vous plait madame, avec un pot de salicorne.
22h00, les baillements s'installent sous les yeux cernés. Nous sommes surpris par la luminosité à cette heure. C'est le nord !
vendredi 16 juillet 2010
Virée 2010
Demain c'est le départ pour 2500 km de virée dans la partie septentrionale de l'Europe : Picardie, Belgique et pays-bas.
La maison se prépare, ça fourmille dans tous les sens : "Et la trousse à pharmacie de l'an dernier elle est encore bonne ?", "il est quelle heure ?", "je retrouve plus mon/ma/mes [au choix :] pochette spéciale voyage/pince à épiler/clés de bagnoles/patience/lames de rasoirs", "Quoi, si tard ? Mais il faut que j'aille à la poste avant qu'elle ferme !", "Maman, j'ai retrouvé mon bonnet !", "Ah, et ton maillot de bains ?"
Afficher Vacances 2010 sur une carte plus grande
La maison se prépare, ça fourmille dans tous les sens : "Et la trousse à pharmacie de l'an dernier elle est encore bonne ?", "il est quelle heure ?", "je retrouve plus mon/ma/mes [au choix :] pochette spéciale voyage/pince à épiler/clés de bagnoles/patience/lames de rasoirs", "Quoi, si tard ? Mais il faut que j'aille à la poste avant qu'elle ferme !", "Maman, j'ai retrouvé mon bonnet !", "Ah, et ton maillot de bains ?"
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mercredi 24 février 2010
arrivée à la maison
Après deux heures et demi d'attente, soudain du mouvement : Léa entend un message en anglais parmi le brouhaha des annonces. Changement de porte, embarquement immédiat!
Nous voilà dans l'avion, deux heures plus tard atterrissage à Andrézieux après un vol dans l'azur au-dessus des nuages, toujours magic!
Arrivée à la maison bien froide. Vite Cédric se met au feu... de cheminée je vous rassure! Léa est déçue car en déballant les souvenirs, sa petite pie est en mille morceaux.
Maintenant nous nous préparons à 18h à manger un énorme plat de pâtes, premier vrai repas depuis 4h du matin!
Nous voilà dans l'avion, deux heures plus tard atterrissage à Andrézieux après un vol dans l'azur au-dessus des nuages, toujours magic!
Arrivée à la maison bien froide. Vite Cédric se met au feu... de cheminée je vous rassure! Léa est déçue car en déballant les souvenirs, sa petite pie est en mille morceaux.
Maintenant nous nous préparons à 18h à manger un énorme plat de pâtes, premier vrai repas depuis 4h du matin!
A l'aéroport de Porto
Lever à l'aube, 4h du matin pour une traversée longitudinale du portugal : de sintra à Porto, 350 kms le long de l'océan.
2 heures plus tard, tout le monde dord dans la voiture, sauf miguel, notre vaillant conducteur qui file sur la bande de bitume. Il n'y a pas grand monde sur l'autoroute à cette heure. Nous sommes au bout de l'Europe, il y a beaucoup de moins de traffic qu'en France.
7h55, nous voilà déposé à l'aéroport. C'est encore très calme. Le check-in et le passage de la sécurité se font beaucoup plus en douceur qu'à Andrézieux. Le personnel est aimable et nous ne sommes pas pris pour des terroristes. Il faut dire que nous avons compris la leçon, nous nous étions déchargé de toute bouteille d'eau.
9h44, nous sommes devant la porte d'embarquement N°14. A la porte d'embarquement N°16, on voit les voyageurs raler après une annonce que nous n'avons pas compris. Quelques minutes plus tard, une annonce en portugais est suivie d'un petit mouvement des autres passagers de notre vol vers la porte d'embarquement. Après renseignement, nous apprenons que notre vol est retardé. Au lieu de partir à 10h10, il partira à 12h30. Ceci à cause des grèves des controleurs aériens en France. C'est le début d'une attente pleine d'incertitude...
2 heures plus tard, tout le monde dord dans la voiture, sauf miguel, notre vaillant conducteur qui file sur la bande de bitume. Il n'y a pas grand monde sur l'autoroute à cette heure. Nous sommes au bout de l'Europe, il y a beaucoup de moins de traffic qu'en France.
7h55, nous voilà déposé à l'aéroport. C'est encore très calme. Le check-in et le passage de la sécurité se font beaucoup plus en douceur qu'à Andrézieux. Le personnel est aimable et nous ne sommes pas pris pour des terroristes. Il faut dire que nous avons compris la leçon, nous nous étions déchargé de toute bouteille d'eau.
9h44, nous sommes devant la porte d'embarquement N°14. A la porte d'embarquement N°16, on voit les voyageurs raler après une annonce que nous n'avons pas compris. Quelques minutes plus tard, une annonce en portugais est suivie d'un petit mouvement des autres passagers de notre vol vers la porte d'embarquement. Après renseignement, nous apprenons que notre vol est retardé. Au lieu de partir à 10h10, il partira à 12h30. Ceci à cause des grèves des controleurs aériens en France. C'est le début d'une attente pleine d'incertitude...
mardi 23 février 2010
Une journée royale
Dernier jour au portugal. Ca sent la saudade.
Visite du palais royal de Sintra, plus vieux chateau médiéval du Portugal. Les ailes les plus anciennes datent de l'occupation arabe et il a été utilisé par les monarques jusqu'à l'établissement de la république en 1910. Les salles sont immenses et l'agencement du chateau est labyrinthique - encore une fois ! De nombreux azulejos et pièces à l'influence mauresque. Le plus impressionnant, c'est la cuisine, bâtie sous 2 immenses cheminées représentatives de Sintra.
Après la visite et avant de retrouver Orlando chez lui pour un repas, nous faisons le plein de souvenirs Portugais : plats et dessous de plat colorés, pâtisseries de Priquita (cf jours précédents). Hanaé cherche désespérément son souvenir Australo-portugais : un boomerang marqué Sintra qu'elle a entraperçue hier. Léa a craqué pour un azulejo représentant une pie - va comprendre pourquoi dixit Cédric - il est super mignon, dixit Léa, comme le stewart, voir Mercredi 17/03 - c'est obscur, dixit wangmo. Hanaé un dixit ? "quoi mais ça veut dire quoi dixit ?" dixit Hanaé.
Après une recherche infructueuse de fleuriste, nous trouvons le museo do bonzai où nous faisons l'acquisition d'un petit arbre de 1989 venant de chine. Nous nous disons que cela ira parfaitement bien dans le jardin d'Orlando et Paulo.
Petite balade dans la campagne de bord de mer, en direction du nord, pour les retrouver dans leur maison toute neuve, très joliment décorée.
Orlando nous a concocté un repas tipicos portugais : fromage à l'apéro, poulet curry-noix de coco et riz et gâteau de riz au lait-cannelle avec Ananas. Pour finir, une petite liqueur de café.
Après présentation de dharma, milou et dara (les chiens de la maison), nous sommes allé nous promener sur la plage ravagée par les tempêtes. 250 photos plus tard, wangmo affirme : "la mer c'est trop photogénique, on ne peut pas s'empécher de la prendre".
En fin de journée, et avant de rentrer à la quinta, nous avons fait un tour à Sintra pour qu'Hanaé puisse enfin trouvé son boomerang tant convoité.
Le soir, après le repas, les filles investissent la chambre parentale pour une courte nuit : demain nous nous levons à 4h pour attraper notre avion à Porto, à 10h00.
Visite du palais royal de Sintra, plus vieux chateau médiéval du Portugal. Les ailes les plus anciennes datent de l'occupation arabe et il a été utilisé par les monarques jusqu'à l'établissement de la république en 1910. Les salles sont immenses et l'agencement du chateau est labyrinthique - encore une fois ! De nombreux azulejos et pièces à l'influence mauresque. Le plus impressionnant, c'est la cuisine, bâtie sous 2 immenses cheminées représentatives de Sintra.
Après la visite et avant de retrouver Orlando chez lui pour un repas, nous faisons le plein de souvenirs Portugais : plats et dessous de plat colorés, pâtisseries de Priquita (cf jours précédents). Hanaé cherche désespérément son souvenir Australo-portugais : un boomerang marqué Sintra qu'elle a entraperçue hier. Léa a craqué pour un azulejo représentant une pie - va comprendre pourquoi dixit Cédric - il est super mignon, dixit Léa, comme le stewart, voir Mercredi 17/03 - c'est obscur, dixit wangmo. Hanaé un dixit ? "quoi mais ça veut dire quoi dixit ?" dixit Hanaé.
Après une recherche infructueuse de fleuriste, nous trouvons le museo do bonzai où nous faisons l'acquisition d'un petit arbre de 1989 venant de chine. Nous nous disons que cela ira parfaitement bien dans le jardin d'Orlando et Paulo.
Petite balade dans la campagne de bord de mer, en direction du nord, pour les retrouver dans leur maison toute neuve, très joliment décorée.
Orlando nous a concocté un repas tipicos portugais : fromage à l'apéro, poulet curry-noix de coco et riz et gâteau de riz au lait-cannelle avec Ananas. Pour finir, une petite liqueur de café.
Après présentation de dharma, milou et dara (les chiens de la maison), nous sommes allé nous promener sur la plage ravagée par les tempêtes. 250 photos plus tard, wangmo affirme : "la mer c'est trop photogénique, on ne peut pas s'empécher de la prendre".
En fin de journée, et avant de rentrer à la quinta, nous avons fait un tour à Sintra pour qu'Hanaé puisse enfin trouvé son boomerang tant convoité.
Le soir, après le repas, les filles investissent la chambre parentale pour une courte nuit : demain nous nous levons à 4h pour attraper notre avion à Porto, à 10h00.
lundi 22 février 2010
La quinta de Regaleira : un vrai régal !
Ce matin, ça finit par ne plus être une surprise, le ciel est partiellement bleu, malgré ce que prévoit la météo portugaise. Il faut dire que l'océan n'est pas loin et qu'il chasse facilement les nuages. Nous avons décidé d'allé à la quinta de regaleira. C'est l'ancienne maison de la famille de notre hôte. Elle a été construite à la fin du XIXème selon la vision délirante d'une décorateur Italien d'opéra. parcourant les jardins touffus et plein de mystère, nous nous prenons à rêver à la vie de Miguel et de ses frères dans cette exubérance magique. Il y a des grottes, des labyrinthes, des puits, des lacs, des tours, des statues représentant des dieux, des diables, des animaux, une chapelle à 2 niveaux. C'est un mélange baroque avec un langage symbolique très fort qui évoque l'ésotérisme maçonnique. La quinta proprement dite est farci de petites pièces, c'est aussi labyrinthique, là encore, nous imaginons les repas familiaux, et ce qu'aurait pu être notre séjour à Sintra si cela avait été 50 ans plus tôt.
A midi, de retour à notre cantine de la plage adraga, Wangmo et Cédric ont essayé le crabe tandis que les filles se sont régalé d'une énorme daurade. Après le café, nous sommes allés jouer avec la mer qui était d'humeur taquine : Hanaé s'est fait copieusement lécher les pieds, pour wangmo ça n'est pas passé loin.
L'après-midi, nous avons fait une tentative de visite des palais royaux de Sintra mais cela s'est soldé par des chocolats et traversins à la patisserie Piriquita. Il faut dire que nous avons passé une heure de recherche de chaussures pour Hanaé qui faisait schplok scplok dans ces chaussettes après la plage. Nous ne lui avons trouvé dans un premier temps que de ravissante tong orange qui en plein hiver font un certain effet. Finalement, Léa a trouvé une paire de bottine tipicos qui lui ont fait de l'oeil et elle a refilé ces vieilles converse trouées à une Hanaé ravie de récupérer les chaussures vintage de son idole.
Le soir, nous avons pratiqué dans la maison de la maman de Miguel avec le petit groupe de Sintra qui se réunit tous les Lundi Soir.
Enfin, nous avons partagé un repas convivial et chaleureux avec la famille de Miguel : sa femme, constanza, était revenu d'angleterre où elle avait passé une semaine avec l'ainé qui y fait des études de Médecine. La conversation était enjoué avec les 2 grands fils qui avait appétit à communiquer. Cédric quand à lui, avait autant d'appétit à communiquer qu'à manger la baclhau (morue) portugaise.
A midi, de retour à notre cantine de la plage adraga, Wangmo et Cédric ont essayé le crabe tandis que les filles se sont régalé d'une énorme daurade. Après le café, nous sommes allés jouer avec la mer qui était d'humeur taquine : Hanaé s'est fait copieusement lécher les pieds, pour wangmo ça n'est pas passé loin.
L'après-midi, nous avons fait une tentative de visite des palais royaux de Sintra mais cela s'est soldé par des chocolats et traversins à la patisserie Piriquita. Il faut dire que nous avons passé une heure de recherche de chaussures pour Hanaé qui faisait schplok scplok dans ces chaussettes après la plage. Nous ne lui avons trouvé dans un premier temps que de ravissante tong orange qui en plein hiver font un certain effet. Finalement, Léa a trouvé une paire de bottine tipicos qui lui ont fait de l'oeil et elle a refilé ces vieilles converse trouées à une Hanaé ravie de récupérer les chaussures vintage de son idole.
Le soir, nous avons pratiqué dans la maison de la maman de Miguel avec le petit groupe de Sintra qui se réunit tous les Lundi Soir.
Enfin, nous avons partagé un repas convivial et chaleureux avec la famille de Miguel : sa femme, constanza, était revenu d'angleterre où elle avait passé une semaine avec l'ainé qui y fait des études de Médecine. La conversation était enjoué avec les 2 grands fils qui avait appétit à communiquer. Cédric quand à lui, avait autant d'appétit à communiquer qu'à manger la baclhau (morue) portugaise.
dimanche 21 février 2010
Visite du pavillon de la connaissance
2ème jour de wangmo à Lisbonne. Ce matin, Miguel notre hôte n'était pas levé, il a fêté les 60 ans d'un ami jusqu'à 6h du matin. Cédric est donc allé acheté de pain mais mystère de la langue portugaise, il est revenu avec 2 sandwichs. Comme nous n'avons pas trouvé le café dans la maison, nous nous sommes mis en quête d'un café ouvert le Dimanche à Lisbonne : c'est peine perdu, Lisbonne est une ville morte le Dimanche, il y a trop peu de personnes qui y habitent réellement.
Ce matin la météo est d'humeur chagrine : pluie et vent. Avec les filles nous sommes allé au centre ville faire un tour à l'office du tourisme pour trouver l'inspiration pour cet après-midi. Après le déjeuner avec wangmo et son groupe, nous sommes allés au pavillon de la connaissance : une sorte de villette portugaise. Beaucoup de petites manip' amusante dans 4 grands espaces.
Le soir, Vittoria nous a invité a manger chez elle avec Orlando et Marta. Elle avait aussi demandé à sa fille Ana de venir avec son fils de 8 mois : Guy.
Ce matin la météo est d'humeur chagrine : pluie et vent. Avec les filles nous sommes allé au centre ville faire un tour à l'office du tourisme pour trouver l'inspiration pour cet après-midi. Après le déjeuner avec wangmo et son groupe, nous sommes allés au pavillon de la connaissance : une sorte de villette portugaise. Beaucoup de petites manip' amusante dans 4 grands espaces.
Le soir, Vittoria nous a invité a manger chez elle avec Orlando et Marta. Elle avait aussi demandé à sa fille Ana de venir avec son fils de 8 mois : Guy.
samedi 20 février 2010
Pélerinage à l'oceanorio
Aujourd'hui Wangmo travaillait à Lisbonne alors les filles ont voulu faire leur pélerinage à l'oceanorio. C'est un très grand aquarium construit dans le quartier de l'expo universelle de 98. Il y a au centre un très gros bassin contenant toute sorte de poissons : raies, requins, thons et aussi un drôle de poisson soleil qui ne ressemble à rien du tout. Autour de cet aquarium il y a 4 espaces recréant l'ambiance des océans pacifique, atlantique, artique et indien. Devant le grand aquarium central c'est très calme et fascinant. Tellement calme que Cédric s'est endormi devant la lueur bleuté.
Malheureusement, une erreur de manip' informatique, en soirée a fait perdre toutes les photos de la journée. Tout ce qui nous reste est ce montage reprenant des photos qui on été faites il y a 6 ans en 2004.
Malheureusement, une erreur de manip' informatique, en soirée a fait perdre toutes les photos de la journée. Tout ce qui nous reste est ce montage reprenant des photos qui on été faites il y a 6 ans en 2004.
vendredi 19 février 2010
le palace de monteserrate et le couvent des capucins
Aujourd'hui agréable surprise : il fait beau le ciel est bleu en dépit des prévisions météo.
Nous sommes allé visité le palais de montesserrate et son incroyable jardin. C'est la maison où habitait francis Cook. Hélas, le palais est en réparation et il ne nous a pas été permis de le visiter. Nous nous sommes rabattu sur les jardins : arbres gigantesques, vallée au micro-climat propices aux fougères, petite chapelle romantique sur laquelle pousse un banyan.
A midi, retour à notre cantine préférée au bord de la plage pour déguster une daurade grillée succulente.
L'après-midi, visite d'un monastère franscain avec ses cellules de retraite lilliputienne, son réfectoire austère. L'ambiance est au retrait du monde et à la méditation.
Le soir, après un passage par Mc Do pour assurer nos devoirs de blogger, les filles restent à la maison tandis que Cédric conférence sur la mécanique quantique à Lisboa.
Cette soirée à Lisbonne s'est conclue par une bière partagée entre hommes dans une brasserie, accompagnée d'un plat tipicos : pains mouillés avec des crevettes.
Nous sommes allé visité le palais de montesserrate et son incroyable jardin. C'est la maison où habitait francis Cook. Hélas, le palais est en réparation et il ne nous a pas été permis de le visiter. Nous nous sommes rabattu sur les jardins : arbres gigantesques, vallée au micro-climat propices aux fougères, petite chapelle romantique sur laquelle pousse un banyan.
A midi, retour à notre cantine préférée au bord de la plage pour déguster une daurade grillée succulente.
L'après-midi, visite d'un monastère franscain avec ses cellules de retraite lilliputienne, son réfectoire austère. L'ambiance est au retrait du monde et à la méditation.
Le soir, après un passage par Mc Do pour assurer nos devoirs de blogger, les filles restent à la maison tandis que Cédric conférence sur la mécanique quantique à Lisboa.
Cette soirée à Lisbonne s'est conclue par une bière partagée entre hommes dans une brasserie, accompagnée d'un plat tipicos : pains mouillés avec des crevettes.
jeudi 18 février 2010
praïa pena e piriquita
Réveil dans une quinta (ferme traditionnelle) tipicos : meubles cossus sans âge, plomberie défaillante, chauffage aléatoire. Les modes d'emploi pour la douche et le café ont le charme d'avant-que-tout-fonctionne-bien. Miguel, notre hôte, est plein de prévenance pour notre confort.
Après petit déjeûner et rédaction du blog, nous allons à l'office du tourisme de Sintra (classée au patrimoine mondial de l'UNESCO). Puis direction la Praia de Adraga pour dénicher le petit reso dont Joao (le frère de miguel) nous a parlé.
Découverte d'une adorable petite plage avec un océan démonté et quelques pêcheurs.
Au bord de la plage, un petit restaurant bien côté par les autochtones. Au menu : amejoas (parlourdes à l'ail) et espadons.
L'après-midi, montée au palais de la pena, pour une plongée dans le style turco-baroquo-romantico-bavarois du roi Ferdinand (XIXème). Promenade à la fraîche dans les jardins du palais.
Pour se réchauffer, nous décidons d'aller déguster les célèbres patisseries au fameux salon de thé piriquita de sintra. Après 30 min de queues, nous accédons à un bout de table bien mérité que nous nous empressons d'investir. Nous nous régalons de traversins : patisserie chaude locale dont nous sommes bien incapable de donner la composition.
Retour au bercail, en passant par un café-bar-billard-internet pour assurer nos devoirs virtuels.
mercredi 17 février 2010
Envolée by Ryanair
10h25 - la voiture s'embourbe dans le mélange de neige fondue et de boue. La tension monte parmi ses passagers. Arriverons-nous seulement à décoller de chez nous ?
10h45 - wangmo au volant et les trois autres les pieds dans la gadoue et de la boue jusqu'au cou, la xzara finit par s'extraire de la fange ! Ouf, la première épreuve du voyage est passée.
11h33 - nous arrivons à l'international airport of Andrézieux-Bouthéon où une foule de foréziens (environ 30 personnes) attendent l'ouverture des enregistrements
11h52 - Hanaé est prise en flagrant délit avec trois bouteilles de 75 cl d'eau de la marque casino au passage du contrôle de sécurité. Léa allume tous les portiques avec ses boucles de bottes et son ceinturon métallique. Il a fallu tous les ressorts diplomatiques de Cédric pour calmer la furie des agents de sécurité à cran de l'aéroport. On ne rigole pas avec la sécurité des passagers.
12h09 - Cédric & Hanaé reviennent chargé de 4 bouteilles d'eau de 50 cl de marque cristalline, acquises au bar de la zone d'embarcation. Nous y arriverons à boire une gorgée d'eau à 1000 pieds au-dessus du sol français ! Vous n'avez pas compris, nous non plus : il est interdit de faire passer des bouteilles d'eau au contrôle de sécurité mais de l'autre côté, il est possible d'en acheter et d'en emporter dans l'avion... Nous soupçonnons l'équipe de sécurité de faire un traffic international de bouteilles d'eau vu le nombre de bouteilles séquestrées au portique.
13h10 - L'avion de la journée atterrit. La foule de foréziens est maintenant à son comble : une centaine de personnes.
13h30 - La porte d'embarquement N°2 s'ouvre, Hanaé se précipite sur les pas du stewart - il était pas mal en plus dixit Léa.
13h35 - Les filles pénètrent dans la cabine du boeing 737
14h56 - 256ème annonce de l'équipage [on vous la traduit tout de suite car on l'a eu en anglais, portugais, français, espagnol comme les 255 précédentes] : "nous vous proposons des billets de tombola au prix exceptionnel de 2 euros. Il est possible de gagner des coupons de réduction ryanair ou une voiture neuve d'une valeur de 40 000 euros".
15h12 - 345ème annonce : "ce vol est non fumeur toutefois nous vous proposons des cigarettes sans fumée au prix de 6 euros afin de rendre votre voyage plus agréable." - Nous avons compris comment ryanair peut proposer des voyages à prix réduit. Ceci dit c'était super confortable - dixit wangmo - à part ces incessantes annonces publicitaires.
15h35 - l'avion se pose à Porto - nous retardons nos montres d'une heure.
15h00 [heure locale]- Nous prenons place dans la fiat 5 places - mais un petit coffre, dixit cédric - d'orlando.
16h47 - pause-café-brioche-gateau de semoule sur une aire d'autoroute. Nous retrouvons les wc tellement-propres-qu'on-pourrait-manger-par-terre portugais.
18h47 - passage chez orlando. Découverte d'une maison superbement décorée avec des volumes impressionnants quand même - dixit wangmo - dans laquelle nous ne dormirons pas car Orlando a 4 chiens (dont un vieux et aveugle).
19h47 - Fin d'un long périple (il a fallu plus de temps pour faire les 300 derniers kilomètres que les 2047 premiers).
20h07 - affalés devant un feu de bois, dans un sofa cuir tout confort, nous profitons de la conversation de notre hotesse qui reçoit, comme chaque mercredi, toute sa famille pour un repas convivial. Ambiance très simple, décontractée, nous sommes intégrés comme des membres de la famille. La journée se dissous dans des échanges convivaux et profonds sur la nature de la réalité avec nos hôtes portugais qui parlent un français remarquable.
10h45 - wangmo au volant et les trois autres les pieds dans la gadoue et de la boue jusqu'au cou, la xzara finit par s'extraire de la fange ! Ouf, la première épreuve du voyage est passée.
11h33 - nous arrivons à l'international airport of Andrézieux-Bouthéon où une foule de foréziens (environ 30 personnes) attendent l'ouverture des enregistrements
11h52 - Hanaé est prise en flagrant délit avec trois bouteilles de 75 cl d'eau de la marque casino au passage du contrôle de sécurité. Léa allume tous les portiques avec ses boucles de bottes et son ceinturon métallique. Il a fallu tous les ressorts diplomatiques de Cédric pour calmer la furie des agents de sécurité à cran de l'aéroport. On ne rigole pas avec la sécurité des passagers.
12h09 - Cédric & Hanaé reviennent chargé de 4 bouteilles d'eau de 50 cl de marque cristalline, acquises au bar de la zone d'embarcation. Nous y arriverons à boire une gorgée d'eau à 1000 pieds au-dessus du sol français ! Vous n'avez pas compris, nous non plus : il est interdit de faire passer des bouteilles d'eau au contrôle de sécurité mais de l'autre côté, il est possible d'en acheter et d'en emporter dans l'avion... Nous soupçonnons l'équipe de sécurité de faire un traffic international de bouteilles d'eau vu le nombre de bouteilles séquestrées au portique.
13h10 - L'avion de la journée atterrit. La foule de foréziens est maintenant à son comble : une centaine de personnes.
13h30 - La porte d'embarquement N°2 s'ouvre, Hanaé se précipite sur les pas du stewart - il était pas mal en plus dixit Léa.
13h35 - Les filles pénètrent dans la cabine du boeing 737
14h56 - 256ème annonce de l'équipage [on vous la traduit tout de suite car on l'a eu en anglais, portugais, français, espagnol comme les 255 précédentes] : "nous vous proposons des billets de tombola au prix exceptionnel de 2 euros. Il est possible de gagner des coupons de réduction ryanair ou une voiture neuve d'une valeur de 40 000 euros".
15h12 - 345ème annonce : "ce vol est non fumeur toutefois nous vous proposons des cigarettes sans fumée au prix de 6 euros afin de rendre votre voyage plus agréable." - Nous avons compris comment ryanair peut proposer des voyages à prix réduit. Ceci dit c'était super confortable - dixit wangmo - à part ces incessantes annonces publicitaires.
15h35 - l'avion se pose à Porto - nous retardons nos montres d'une heure.
15h00 [heure locale]- Nous prenons place dans la fiat 5 places - mais un petit coffre, dixit cédric - d'orlando.
16h47 - pause-café-brioche-gateau de semoule sur une aire d'autoroute. Nous retrouvons les wc tellement-propres-qu'on-pourrait-manger-par-terre portugais.
18h47 - passage chez orlando. Découverte d'une maison superbement décorée avec des volumes impressionnants quand même - dixit wangmo - dans laquelle nous ne dormirons pas car Orlando a 4 chiens (dont un vieux et aveugle).
19h47 - Fin d'un long périple (il a fallu plus de temps pour faire les 300 derniers kilomètres que les 2047 premiers).
20h07 - affalés devant un feu de bois, dans un sofa cuir tout confort, nous profitons de la conversation de notre hotesse qui reçoit, comme chaque mercredi, toute sa famille pour un repas convivial. Ambiance très simple, décontractée, nous sommes intégrés comme des membres de la famille. La journée se dissous dans des échanges convivaux et profonds sur la nature de la réalité avec nos hôtes portugais qui parlent un français remarquable.
mardi 16 février 2010
Veille de départ
Ca y est c'est reparti ! C'est la veille du départ. On se prépare pour une nouvelle virée en Europe, direction le Portugal.
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