jeudi 29 juillet 2010

Découverte d'Amsterdam

Lever 6h30 puis tramway et train pour arriver à la gare d'Amsterdam à 9h00.
La journée amsterdamoise commence par une attente au tourist office et un café au bord de l'eau. Nous décidons de découvrir Amsterdam par l'eau : croisière découverte des canaux.
Un tour de ville plus tard, nous revoilà à la gare. Tram N°5 direction le musée Van Gogh où nous sommes accueillis par une queue monstre qui nous fait frémir mais fort heureusement, une seconde ligne était ouverte pour les porteurs de la carte "I amsterdam" dont nous avons fraîchement fait l'acquisition. Nous voilà donc, remontant fièrement la longue file, tel des VIPs invités...
Cependant ce moment de privilège n'a pas duré très longtemps : une fois dans le musée, de longues files s'alignent devant les tableaux. Cette fois-ci nous n'avons pas joué la carte "I amsterdam" mais la carte "nous sommes des touristes français" et n'avons pas hésité à prendre des chemins de traverses pour voir de plus près les oeuvres exposées.
Les yeux pleins de couleurs et les genoux en compote, nous avons poursuivi la journée par une virée sur le marché aux fleurs. Wangmo mitraille les étalages et nous nous amusons des "cannabis weed first kit" et autres "magic mushroom gallery".
Comme cela faisait déjà un moment qu'Hanaé égrenait les heures par un "j'ai faim" laconique (c'est à dire depuis environ 15 min après le dernier repas...), nous avons décidé de nous restaurer en goûtant les fameuses "dutch pancakes" vantées par un salon de thé en marge du marché.
 15h45, nous calculons qu'il ne nous reste que 45 min pour atteindre le 3 mats "Amsterdam" qui est à quai proche de la gare.
16h30, malgré ses pieds en compote, Cédric brandit fièrement les tickets d'entrée au bateau dont il a pu faire l'acquisition 1 minute avant la fermeture de la caisse. Nous concluons cette journée dans l'ambiance de cette reconstitution d'un bateau ayant réellement joint Amsterdam aux compagnies orientales à la fin du XVIIème. Wangmo frémit en imaginant les matelots remontant le longs des mats, Léa rêve de la cabine du capitaine, Hanaé s'imagine passant une semaine à bord en tenue "comme à l'époque" et Cédric s'interroge sur ce qu'aurait été son service militaire 250 ans en arrière.
18h00, dans le train de retour pour la Haye, nos pieds se reposent enfin.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire