jeudi 18 février 2010

praïa pena e piriquita


Réveil dans une quinta (ferme traditionnelle) tipicos : meubles cossus sans âge, plomberie défaillante, chauffage aléatoire. Les modes d'emploi pour la douche et le café ont le charme d'avant-que-tout-fonctionne-bien. Miguel, notre hôte, est plein de prévenance pour notre confort.
Après petit déjeûner et rédaction du blog, nous allons à l'office du tourisme de Sintra (classée au patrimoine mondial de l'UNESCO). Puis direction la Praia de Adraga pour dénicher le petit reso dont Joao (le frère de miguel) nous a parlé.
Découverte d'une adorable petite plage avec un océan démonté et quelques pêcheurs.
Au bord de la plage, un petit restaurant bien côté par les autochtones. Au menu : amejoas (parlourdes à l'ail) et espadons.
L'après-midi, montée au palais de la pena, pour une plongée dans le style turco-baroquo-romantico-bavarois du roi Ferdinand (XIXème). Promenade à la fraîche dans les jardins du palais.
Pour se réchauffer, nous décidons d'aller déguster les célèbres patisseries au fameux salon de thé piriquita de sintra. Après 30 min de queues, nous accédons à un bout de table bien mérité que nous nous empressons d'investir. Nous nous régalons de traversins : patisserie chaude locale dont nous sommes bien incapable de donner la composition.
Retour au bercail, en passant par un café-bar-billard-internet pour assurer nos devoirs virtuels.

1 commentaire:

  1. Je constate avec plaisir que des gants rayés sont du voyage. Ils doivent être contents de découvrir le Portugal, mais après il faudra qu'ils me racontent leur découverte.

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